L’assurance de prêt est exigée bien qu’elle soit non obligatoire. Elle sert de garanties en cas de défaillance de l’emprunteur. Cependant, elle devient proportionnellement chère avec la baisse des taux. Pour éviter les surprimes en cas de maladie, on peut bénéficier des aides.
La convention Aeras et l’assurance emprunteur
Remplaçant la convention Belorgey, celle mise en place en juillet 2006 protège les profils les plus fragiles. Un risque aggravé de santé n’apparait forcément pas dans le questionnaire médical d’où la nécessité d’un service pour étudier le dossier de l’emprunteur. Par conséquent, l’assureur couvrira le demandeur pour un emprunt de moins de 320 000 euros, à rembourser avant que ce dernier ait 71 ans. Consulter ces dossiers sur les assurances est toujours de mise pour un bon compromis.
Une garantie pour l’emprunteur et la banque
Les aléas de la vie tels qu’une maladie, un décès ou une perte d’emploi constituent un frein durant le remboursement des mensualités. L’intérêt de souscrire ce genre d’assurance permet ainsi de disposer totalement ou partiellement d’un relais. C’est une couverture afin que les établissements prêteurs puissent récupérer les fonds qu’ils ont fournis. Le pourcentage appliqué sur le capital emprunté ou restant dû sert à déterminer la prime de cette garantie.
La variation du taux se traduit en outre par des critères propres aux assurés, notamment leur âge ou leur état de santé. D’une certaine manière, la procédure semble être assez basique et un simple questionnaire de santé pourrait suffire. Et pourtant, les profils malades, victimes d’une pathologie ancienne ou d’un handicap, sont enclins à payer des surprimes ou se voient refusés par l’assureur.